La ville et ses agglomérations sont à la fois un motif plastique et une source de réflexion. Je pense à la ville et
j'imagine un lieu et la forêt alentour, un calme à mes rêveries interrogatives. Une envie grandissante de lier
mes recherches à la science me saisit : une sensation de bien être, mêlée d’émotions s’empare de moi.
Je pense
alors aux conséquences que cela aurait sur l’évolution de mon travail.
Face à notre comportement à la nature,
je cherche à développer une vision où la ville et ses agglomérations sont à la fois un motif plastique et une
source de réflexion.
En effet, la vision de ce qui m'entoure a changé d’échelle : je vois l’être humain comme
une matière fluide qui se transforme, à l’image de milliards de cellules en expansion dans le temps ; l'espace-temps ou l'espace infiniment petit de notre univers.